Alors tu n’as pas participé au championnat des Pays-Bas de vélo contre le vent ? Parait que cette année le vent était force 9 et de pleine face. Moi aussitôt, qu’il y a un peu de vent je rentre le vélo.
A pluche.
Il m’est arrivé de pédaler, entre Noordwijk et Oegstgeest, 10 km, par un vent de 160 km/h sous les rafales. De face, c’est juste comme monter le Ventoux, en pire, et en posant le pied à terre en attendant que la rafale soit passée. Sur le côté, ce qui est le cas sur la majorité du trajet en question, c’est bien pire. Équilibre instable, impossible de rouler droit, 5 km/h, pas plus. Je suis arrivé épuisé et terrifié. Et j’ai descendu ma limite à 120 km/h … c’était il y a très longtemps.
Merci, Anatole, et une paisible journée à toi.
Dessin transmettant réellement la détestation du vent par les vrais cyclistes… même la terreur! Du reste il suffit de faire le rapprochement entre le sympathique visage de Ciara publié hier lors de sa rencontre avec Aéolus et celui de ce matin face au cycliste. On sent bien tes préférences et le ‘vécu’, hein Gilles?
Sûr que le vent est beaucoup moins apprécié par le cycliste moyen que par le satellite moyen. Personnellement, je préfère la montagne au vent ! Et c’est en effet du vécu parceque 31 ans aux Pays-Bas, avec la tempête de 1991 …
Merci, Akimismo, et une toute paisible journée à toi.
Bonjour Gilles moi le vélo contre le vent très peu pour moi, par contre s’il pouvait pousser un peu dans les côtes cela serait très bien. Bisous bon après-midi MTH
il y a bien des années, lorsque j’étais encore jeune et svelte , je me trouvais sur mon vélo et un chemin de campagne en montée.
Il y avait pas mal de vent … qui me poussait
Quelle agréable sensation de ne pas devoir pédaler dans une montée tout en avançant 😀
Il est vrai qu’une fois par décennie, le vent aide un cycliste. C’est une dérogation à la loi physique et absolue qui dit qu’un cycliste a TOUJOURS le vent de face !
Merci et bise et une très paisible journée à toi, Yoshimi.
Guère plus que 30 km/h dans les rafales. Les éléments font la sieste. La Meuse, elle, est encore très haute.
Merci, Aunryz, et une paisible journée à toi.
Alors tu n’as pas participé au championnat des Pays-Bas de vélo contre le vent ? Parait que cette année le vent était force 9 et de pleine face. Moi aussitôt, qu’il y a un peu de vent je rentre le vélo.
A pluche.
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Il m’est arrivé de pédaler, entre Noordwijk et Oegstgeest, 10 km, par un vent de 160 km/h sous les rafales. De face, c’est juste comme monter le Ventoux, en pire, et en posant le pied à terre en attendant que la rafale soit passée. Sur le côté, ce qui est le cas sur la majorité du trajet en question, c’est bien pire. Équilibre instable, impossible de rouler droit, 5 km/h, pas plus. Je suis arrivé épuisé et terrifié. Et j’ai descendu ma limite à 120 km/h … c’était il y a très longtemps.
Merci, Anatole, et une paisible journée à toi.
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Dessin transmettant réellement la détestation du vent par les vrais cyclistes… même la terreur! Du reste il suffit de faire le rapprochement entre le sympathique visage de Ciara publié hier lors de sa rencontre avec Aéolus et celui de ce matin face au cycliste. On sent bien tes préférences et le ‘vécu’, hein Gilles?
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Sûr que le vent est beaucoup moins apprécié par le cycliste moyen que par le satellite moyen. Personnellement, je préfère la montagne au vent ! Et c’est en effet du vécu parceque 31 ans aux Pays-Bas, avec la tempête de 1991 …
Merci, Akimismo, et une toute paisible journée à toi.
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Diese Zeichnung ist ja mal wieder grandios!
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Sorry 😉 Naturellement: Ce dessin est à nouveau génial!
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Ça allait bien en allemand également, Bettina ! Mes restes d’allemand sont encore suffisants !
Merci tout plein et bise et une paisible journée à toi.
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Bonjour Gilles moi le vélo contre le vent très peu pour moi, par contre s’il pouvait pousser un peu dans les côtes cela serait très bien. Bisous bon après-midi MTH
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Mais le vent n’en fait qu’à sa tête !
Merci et bise et une très paisible journée à toi, Marie.
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il y a bien des années, lorsque j’étais encore jeune et svelte , je me trouvais sur mon vélo et un chemin de campagne en montée.
Il y avait pas mal de vent … qui me poussait
Quelle agréable sensation de ne pas devoir pédaler dans une montée tout en avançant 😀
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Il est vrai qu’une fois par décennie, le vent aide un cycliste. C’est une dérogation à la loi physique et absolue qui dit qu’un cycliste a TOUJOURS le vent de face !
Merci et bise et une très paisible journée à toi, Yoshimi.
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ce n’était pas en France … ceci expliquerait il celà ? 😉
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Vent debout
contre
vent debout
(ces temps ci … plutôt périlleux)
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Guère plus que 30 km/h dans les rafales. Les éléments font la sieste. La Meuse, elle, est encore très haute.
Merci, Aunryz, et une paisible journée à toi.
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