tuez le messager – kill the messenger

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WATER TIGHTNESS
– What is weather forecast office doing !

13 réflexions sur “tuez le messager – kill the messenger

  1. Concernant la météo c’est certain que jeter la pierre à Météo-France est un choix facile, comme si c’était eux qui dictait les caprices du temps, mais il faut plutôt mettre tous ces accidents sur le compte des gens peu scrupuleux, avides d’argent qui ont fait n’importe quoi. L’aménagement du territoire avec le remembrement agricole est certainement aussi responsable avec les retraits des haies, des fossés et puis il y a aussi le drainage des terres…
    A pluche.

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  2. Bonjour Gilles, il fit beau chez nous, pas de pluie en vue, on va se dessécher sur place!!! mais cela vaut mieux que la catastrophe de l’Aude. Bisous et bon après-midi MTH

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  3. Cher abonné fantôme ou devrais-je dire :  » Hou hou, esprit es-tu là ?  » Toi, tes frères et tes sœurs, vous me rappelez étrangement ces amis Facebook qui ne se manifestent ni la nuit ni le jour. Pourtant ils veulent être là sur le banc de touche au moment du coup d’envoi. Qu’y font-ils sur cette liste supplétive à part se confondre avec les gradins, mystère ? Je le dis sans colère, j’ai connu des potiches plus expressives et des plantes vertes plus démonstratives. Se peut-il qu’un ennui de santé ou qu’un accident de vie les ait écartés de ma route ? Dans ce cas ma peine en sera plus grande et je viens expressément prendre de leurs nouvelles, m’assurer que leur réalité est ô combien mieux remplie que la virtualité de cette promesse hélas non tenue.
    Cher abonné fantôme, merci pour ta marque d’estime qui dans un élan fraternel t’a conduit à suivre mon humble blog. Néanmoins je le dis sans animosité, je n’ai jamais remarqué une trace de ton passage par un commentaire ou un clique amical. Se peut-il que la modestie t’étreigne, que la discrétion t’étouffe ô Toi Créature non vire-tue-ailes et que tu me lises muettement ? Mais je te le dis mon frère ma sœur : ayant pris le parti du silence, de loin… tu ressembles à ces gens qui attendent un train, feuillent les pages d’un magazine dans un kiosque de gare sans jamais l’acheté par manque de temps ou pour toute autre considération qu’il ne m’appartient pas d’imaginer. Toutefois je remarque que la création n’est pas encouragée par cette voie. Au contraire elle s’étiole, je te l’avoue sincèrement. 
    Actuellement cher abonné fantôme, tu fais donc office de motif de papier-peint. Tu es certes décoratif et l’embellie de tes couleurs chatoyantes ravit l’œil du visiteur en page d’accueil. Précisément sur la colonne latérale droite. Toi qui nourrissais probablement de grandes espérances te voilà cloisonné à ce rôle ingrat et indigne de toi : figurant. Pardonne cette moquerie, il ne tient qu’à toi de sortir du sommeil, de traverser la scène et montrer que tu existes. Le public ne te mangera pas : il est clément, je te rassure. Ne crains aucun courroux par ce coucou contributeur qui ne taxera en rien ton précieux oxygène !
    Oui cher abonné fantôme, il ne tient qu’à toi d’apparaître au lieu de voir ces belles dispositions précocement disparaître. Souffre que mon être exprime la confusion d’un lien momentanément inutile et que ce ressenti soit signalé sous l’un de tes articles, en fin de page, en guise de commentaire. En effet, je redoute que tu ne lises jamais ma prose si je me contente de la publier sur mon blog où tu t’es aventuré peut-être par mégarde ou croyant me faire plaisir. Voilà donc dans ta boîte aux lettres ce courrier amical, dont le texte apparaît également en colonne centrale de mon blog. Blog que tu as peut-être autrefois aimé ne fut-ce qu’une seconde. Mon désir n’est pas de fustiger l’absence mais de semer une graine de partage dans ce monde d’individualisme forcené. La vie c’est le mouvement. Bien à toi.

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