Et le valeureux Don Quichotte attrapa sa lance, enfourcha sa fidèle Rossinante, et, aussi vite qu’il pu pédaler, se lança à l’attaque, lance baissée et rage au cœur, de l’aliénant moulin. L’histoire ne dit pas si Dulcinée était au volant … même si j’ai ma petite idée.
And valiant Don Quixote grabbed his spear, mounted his faithful Rocinante, and as fast as he could ride, rushed to attack, spear lowered and rage in the heart, the alienating mill. The story does not say if Dulcinea was behind the stearing wheel … even though I have my own idea.
encore une route de collision ….;)
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Et il y a de l’énergie dans celle là, Corinne !
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Arrrgh je suis une adepte de Don Quichotte affreux vilain pas beau et si impérial avec son ‘barbier’ sur la tête. Ma phrase fétiche vient à bout de tout : « la plume est la langue de l’âme ».
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Merci bien Aurélie. J’aime bien le personnage complètement fantasque ! En revanche je n’ai jamais réussi à lire le livre de Cervantes, dyslexie oblige.
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c’est super amusant Gilles !
Donc ta Dulcinée adorée a failli t’écraser alors que tu chevauchais ta fidèle Rossinante ! j’avoue ne pas avoir lu le livre entier non plus! j’ai pourtant un exemplaire en 4 volumes magnifiquement illustré par José-Luis Rey-Vilar hérité de ma petite grand mère chérie …
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Pas du tout ! Ce sont Rossinante et Don Quichotte qui écrasent la voiture … comme les moulins. Il est révélé, à la fin, que Dulcinée n’était pas au volant. Je ne connais pas José-Luis Rey-Villar et je cours immédiatement vers mon navigateur préféré. Une toute belle soirée à toi, Juliette.
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