Exactement mon expérience d’hier matin, 09:35. Un homme demande à un autre : « Le plus court pour aller à Montcy ? » Et le deuxième homme de lui répondre de passer par le Mont Olympe. Heureusement, j’ai retrouvé le premier hésitant à une bifurcation. « Faites le tour par la route, ce sera plus simple et plus rapide ! »
Merci, Rémi, et un bon bout de semaine à toi également.
Bonne question mais… il est permis de sortir un peu des clichés non?
Par exemple: Je suis monté à 7’800 mètres d’altitude en Himalaya (tentative avortée d’ascension du Cho-Oyu, un des quatorze 8’000 du monde) avec la seule pensée/question: J’espère qu’on pourra redescendre! Comme quoi la perception des péripéties de l’existence peuvent être perçues de manière différente selon ses propres choix.
Allez… l’ami, t’es-tu déjà posé la question de savoir comment tu allais redescendre de son sofa avant d’y monter pour la siesta?
Amicalement à toi qui doit être un personnage sympa… puisque tu suis les dessins de Gilles!
Monter est une sorte d’addiction. Descendre est une sorte de nécessité. J’imagine que c’est l’inverse pour les spéléologues.
Merci, Akimismo, et une belle fin de journée à toi, à Cornelia et wouaf à Nico.
Un virus : Randonnorus Sisyphus. On cherche un antidote. Au pire, on déménage aux Pays-Bas.
Merci, les Carnets Paresseux, et une belle fin de journée à toi.
Les effets peuvent se faire sentir à long terme et présentent parfois des lobes secondaires … comme on dit quand on fait des antennes !
Belle journée à toi, les Carnets Paresseux.
les dessins d'humeur de gil 
Effectivement il faut se méfier quand on te dit: » c’est tout droit… » 😉
Passe un bon week-end
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Exactement mon expérience d’hier matin, 09:35. Un homme demande à un autre : « Le plus court pour aller à Montcy ? » Et le deuxième homme de lui répondre de passer par le Mont Olympe. Heureusement, j’ai retrouvé le premier hésitant à une bifurcation. « Faites le tour par la route, ce sera plus simple et plus rapide ! »
Merci, Rémi, et un bon bout de semaine à toi également.
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C’est plus de la varappe que de la randonnée ta petite balade 🙂
A pluche.
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En tous les cas, c’était raide à la montée et à la descente !
Merci, Anatole, et une belle fin de journée à toi.
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« Tout obstacle est fait pour être contourné »
(science à ras les paquerettes)
😜
🤡
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Mais tous ne le sont pas … contournés.
Merci, JMC, et une belle fin de journée à toi.
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à quoi bon monter si c’est pour redescendre ? 🙂
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Bonne question mais… il est permis de sortir un peu des clichés non?
Par exemple: Je suis monté à 7’800 mètres d’altitude en Himalaya (tentative avortée d’ascension du Cho-Oyu, un des quatorze 8’000 du monde) avec la seule pensée/question: J’espère qu’on pourra redescendre! Comme quoi la perception des péripéties de l’existence peuvent être perçues de manière différente selon ses propres choix.
Allez… l’ami, t’es-tu déjà posé la question de savoir comment tu allais redescendre de son sofa avant d’y monter pour la siesta?
Amicalement à toi qui doit être un personnage sympa… puisque tu suis les dessins de Gilles!
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Monter est une sorte d’addiction. Descendre est une sorte de nécessité. J’imagine que c’est l’inverse pour les spéléologues.
Merci, Akimismo, et une belle fin de journée à toi, à Cornelia et wouaf à Nico.
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Un virus : Randonnorus Sisyphus. On cherche un antidote. Au pire, on déménage aux Pays-Bas.
Merci, les Carnets Paresseux, et une belle fin de journée à toi.
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Merci Gilles ; j’ai une forme « adoucie » du virus : Balladis promenadus avec parfois des pics et des rechutes (dans les pyrennées) 🙂
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Les effets peuvent se faire sentir à long terme et présentent parfois des lobes secondaires … comme on dit quand on fait des antennes !
Belle journée à toi, les Carnets Paresseux.
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On voit que tu as le goût de l’effort , Gilles .
Luberon est une belle région et je comprends que tu l’aimes
Amitiés
Michel
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Nous y retournons fin mars.
Merci, Michel, et une belle journée à vous deux.
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