Cela me rappelle un petit retour rapide alors que l’orage arrivait nous avions finit par faire de la luge sur le dos dans le pré c’était en 1984 il me semble dans la vallée de la Maurienne et une autre fois où mon genou a dévissé, je me suis retrouvé 10 m plus bas dans l’herbe hors du sentier.
A pluche.
« Elle descend de la montagne à cheval … » mais sans le cheval et beaucoup plus vite !
Heureusement que c’était de l’herbe, 10 mètres plus bas !
Merci, Anatole, et un bien tranquille après-midi à toi.
D’un autre côté, c’est un tel plaisir ! A vélo, parfois tandis que j’ai peiné à grimper, grimper, grimper, une descente arrive. Quelle joie, alors, de se mettre debout sur les pédales et de se laisser glisser dans la pente ! Tout vibre et on se dit que le moindre petit gravier risque de nous amener à l’hôpital – mais on le fait tout de même.
Bonjour Gilles , freines, tu vas trop vite, personne ne peut te suivre et tu cours non pas à ta perte, il ne faut rien exagérer , mais à une chute certaine! bisous bon après-midi MTH
Pas de chute et ce sont les genoux de mon compagnon de randonnée qui ont soufferts !
Merci et bise, Marie, et une douce et bien souriante soirée à toi.
Ou une bonne descente en ramasse. Cela fait bien des années que je n’ai pas pratiqué !
Merci et bise, chère Irène, et une bien douce et fort souriante soirée à toi.
Ça m’est arrivé une fois de dévaler une pente ainsi en courant. J’étais comme une gamine, emplie de la joie de cette course … et non je ne suis pas tombée malgré l’inquiétude des autres. Et toi ? Tu as fini sur tes deux pieds ou en roulé-boulé ?
Belle journée, sourire et bise Gilles.
Sur ce coup-ci, je ne suis pas tombé. Je glisse, m’empierge, place mal un pied et mes pieds savent ce qu’ils ont à faire. Il m’est arrivé de faire des chutes spectaculaires et je ne me suis jamais fait mal, jamais fait une égratignure. Je suis confiant … tant que mes genoux et mes chevilles tiennent. Je pense qu’il y a deux origines à cette capacité : 1- d’avoir fait beaucoup de glaciers quand j’étais gamin, 2- d’avoir appris à randonner pieds nus plus tard.
Merci et bise, Catherine, et une douce et souriante soirée à toi.
Au delà de ces deux raisons il y a cette conviction que tu ne vas pas te faire mal. Et cela fonctionne. En tout cas pour moi cela a fonctionné !
Belle et douce soirée à toi aussi
La connerie, pure et simple, est de se lancer, en pleine pente sans en connaître la barrière de stop
>je fais référence à mes essais de Deltaplane, où le point d’arrivée était un cour de tennis>Finalité = nombre d’écrasements out of line!
DONC, c’est le point de chute, qui compte
40/0, set & match!
;D
Le parapente est moins exigent au départ et à l’arrivée. Avec un peu de chance, on peut même décoller sans avoir à courir dans la pente qui se termine soit sur un à-pic de 470 mètres soit sur une haie de ronces.
Merci, JMC, et une belle et tranquille soirée à toi.
C’est possible et très agréable (un peu du ski)
dans un pierrier
…
mais là
(en général je descends ce genre de pente en faisant de grands lacets
histoire de se délasser (sourire)²)
J’ai des chaussures de randonnée où il n’est pas nécessaire de nouer les lacets. Je soupçonne qu’ils soient en Dynéma et donc fort difficiles à couper. Et donc, quand lacets il y a, je prends les lacets !
Merci, Aunryz, et un bel après-midi à toi.
Ça me rappelle une vieille technique de montagnard où on descendait la pente à toute allure tout droit en utilisant une très longue branche perpendiculaire à la pente. Zut, comment ça s’appelle? Je l’ai sur le bout de la langue. Tu dois le savoir?
Je connais la descente en ramasse. C’est plutôt avec un piolet qu’avec une grande branche. Je connais aussi le craponnage … mais ça, on n’a pas le droit d’en parler et il a passé de mode avec les skis paraboliques. Et puis j’ai arrêté le ski !
Merci, Brieuc, et une toute douce fin de dimanche à toi.
La ramasse! C’est ça. Je l’ai vu en montagne « à vaches ». Pas de piolet.
Craponnage? Never heard of it. Et je n’ai pas skié depuis des lustres. Il y a un temps pour tout.
A +
Une manière discrète de tourner skis parallèles, proscrite par la Fédération Française de Ski … dans les années 70 et complètement obsolète aujourd’hui.
Bel après-midi à toi, Brieuc.
Craponner ou crapotter? Il me semble que j’avais appris ça aux Deux Alpes… Mais aussi quand je vois les mini skis d’aujourd’hui, et le miens qui faisaient 2ms10! Pour prendre un virage « y » fallait y réfléchir 5 minutes avant. Et les bosses, je te dis pas… 🎿
Peut-être était-ce « craponner » en Franche Compté et « crapotter » en Savoie … ou peut-être est-ce une erreur d’aiguillage dans ma mémoire ?
Une belle journée à toi, Brieuc.
Attention Aie…
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Même pas !
Merci, Claude, et une belle grande journée à toi
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Cela me rappelle un petit retour rapide alors que l’orage arrivait nous avions finit par faire de la luge sur le dos dans le pré c’était en 1984 il me semble dans la vallée de la Maurienne et une autre fois où mon genou a dévissé, je me suis retrouvé 10 m plus bas dans l’herbe hors du sentier.
A pluche.
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« Elle descend de la montagne à cheval … » mais sans le cheval et beaucoup plus vite !
Heureusement que c’était de l’herbe, 10 mètres plus bas !
Merci, Anatole, et un bien tranquille après-midi à toi.
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Il n’y a même pas un arbuste pour l’ arrêter!
Amitiés
Michel
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Pas fous les arbustes. Ils se sont dépêchés de se mettre en dehors de la trajectoire !
Merci, Michel, et un tout tranquille après-midi à toi.
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D’un autre côté, c’est un tel plaisir ! A vélo, parfois tandis que j’ai peiné à grimper, grimper, grimper, une descente arrive. Quelle joie, alors, de se mettre debout sur les pédales et de se laisser glisser dans la pente ! Tout vibre et on se dit que le moindre petit gravier risque de nous amener à l’hôpital – mais on le fait tout de même.
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Comme des gamins … et c’est bon !
Merci, Aldor, et un bel après-midi à toi, sans gravier.
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Bonjour Gilles , freines, tu vas trop vite, personne ne peut te suivre et tu cours non pas à ta perte, il ne faut rien exagérer , mais à une chute certaine! bisous bon après-midi MTH
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Pas de chute et ce sont les genoux de mon compagnon de randonnée qui ont soufferts !
Merci et bise, Marie, et une douce et bien souriante soirée à toi.
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Vivement la neige…un bon « routchage » et hop, en bas…dourires et bises non moins douces, cher Gilles
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Ou une bonne descente en ramasse. Cela fait bien des années que je n’ai pas pratiqué !
Merci et bise, chère Irène, et une bien douce et fort souriante soirée à toi.
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Ça m’est arrivé une fois de dévaler une pente ainsi en courant. J’étais comme une gamine, emplie de la joie de cette course … et non je ne suis pas tombée malgré l’inquiétude des autres. Et toi ? Tu as fini sur tes deux pieds ou en roulé-boulé ?
Belle journée, sourire et bise Gilles.
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Sur ce coup-ci, je ne suis pas tombé. Je glisse, m’empierge, place mal un pied et mes pieds savent ce qu’ils ont à faire. Il m’est arrivé de faire des chutes spectaculaires et je ne me suis jamais fait mal, jamais fait une égratignure. Je suis confiant … tant que mes genoux et mes chevilles tiennent. Je pense qu’il y a deux origines à cette capacité : 1- d’avoir fait beaucoup de glaciers quand j’étais gamin, 2- d’avoir appris à randonner pieds nus plus tard.
Merci et bise, Catherine, et une douce et souriante soirée à toi.
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Au delà de ces deux raisons il y a cette conviction que tu ne vas pas te faire mal. Et cela fonctionne. En tout cas pour moi cela a fonctionné !
Belle et douce soirée à toi aussi
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La connerie, pure et simple, est de se lancer, en pleine pente sans en connaître la barrière de stop
>je fais référence à mes essais de Deltaplane, où le point d’arrivée était un cour de tennis>Finalité = nombre d’écrasements out of line!
DONC, c’est le point de chute, qui compte
40/0, set & match!
;D
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Le parapente est moins exigent au départ et à l’arrivée. Avec un peu de chance, on peut même décoller sans avoir à courir dans la pente qui se termine soit sur un à-pic de 470 mètres soit sur une haie de ronces.
Merci, JMC, et une belle et tranquille soirée à toi.
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C’est possible et très agréable (un peu du ski)
dans un pierrier
…
mais là
(en général je descends ce genre de pente en faisant de grands lacets
histoire de se délasser (sourire)²)
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J’ai des chaussures de randonnée où il n’est pas nécessaire de nouer les lacets. Je soupçonne qu’ils soient en Dynéma et donc fort difficiles à couper. Et donc, quand lacets il y a, je prends les lacets !
Merci, Aunryz, et un bel après-midi à toi.
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Ça me rappelle une vieille technique de montagnard où on descendait la pente à toute allure tout droit en utilisant une très longue branche perpendiculaire à la pente. Zut, comment ça s’appelle? Je l’ai sur le bout de la langue. Tu dois le savoir?
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Je connais la descente en ramasse. C’est plutôt avec un piolet qu’avec une grande branche. Je connais aussi le craponnage … mais ça, on n’a pas le droit d’en parler et il a passé de mode avec les skis paraboliques. Et puis j’ai arrêté le ski !
Merci, Brieuc, et une toute douce fin de dimanche à toi.
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La ramasse! C’est ça. Je l’ai vu en montagne « à vaches ». Pas de piolet.
Craponnage? Never heard of it. Et je n’ai pas skié depuis des lustres. Il y a un temps pour tout.
A +
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Une manière discrète de tourner skis parallèles, proscrite par la Fédération Française de Ski … dans les années 70 et complètement obsolète aujourd’hui.
Bel après-midi à toi, Brieuc.
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Craponner ou crapotter? Il me semble que j’avais appris ça aux Deux Alpes… Mais aussi quand je vois les mini skis d’aujourd’hui, et le miens qui faisaient 2ms10! Pour prendre un virage « y » fallait y réfléchir 5 minutes avant. Et les bosses, je te dis pas… 🎿
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Peut-être était-ce « craponner » en Franche Compté et « crapotter » en Savoie … ou peut-être est-ce une erreur d’aiguillage dans ma mémoire ?
Une belle journée à toi, Brieuc.
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👍🏻
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