mains pas propes – not clean hands … literally

– No more blood test results delivered in person ! Literally « in clean hands. »

Annonce : Je donnerai une conférence sur aeolus à la médiathèque de Barcelonnette le mardi 15 septembre à 18:00 : https://gilscow.wordpress.com/conferences/

26 réflexions sur “mains pas propes – not clean hands … literally

  1. Ce matin sur le marché j’étais juste derrière deux de gendarmes, avec les masque mais le gars n’a pas pu s’empêcher de tripoter les légumes, va savoir s’il avait les mains propres c’est une autre histoire voyant qu’il avait un « gun » à porté de main 🙂 j’en ai pas fait …. »d’histoire ».
    A pluche.

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    • Par les temps qui courent, mon épicier favoris est furibond quand il voit quelqu’un toucher aux légumes et aux conserves. Les panneaux ne manquent pas mais certains ne peuvent pas se passer de toucher.
      Merci et une belle soirée à toi, Anatole.

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  2. Eh bien, belle conférence à toi..sourire..j’ai un souvenir magnifique de la Barcelonnetta, mais avant les Jeux Olympiques, elle avait encore tout le charme des vieilles guinguettes où l’on mangeait la paella les pieds dans le sable…sourire
    Des bises douceur, cher Gilles

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    • Barcelonnette, Irène, pas Barceloneta. Aucune chance que je mette les pieds dans le sable. Ceci écrit, l’étymologie de Barcelonnette hésite entre une « petite montagne » et une « petite Barcelone ». Dans un cas comme dans l’autre, quelqu’un a fait preuve d’imagination !
      Merci et bise et une douce et souriante soirée à toi.

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  3. Bonjour Gilles, hier à à Troyes beaucoup de gens masqués, sauf certains jeunes , sûrement au-dessus des lois et n’ayant pas peur du virus pour eux. Mais bien sûr , je n’ai rien dit, trop peur de me faire agresser, et pourtant en les croisant je les ai bien regardé en faisant mes « yeux noirs de méchante vieille sorcière » bof, ils n’ont même pas eu peur LOL Bisous bon après-midi MTH

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    • Mettre la responsabilité du retour de l’épidémie sur l’absence de port correct du masque et sur les « jeunes » me paraît excessif. Le port du masque dédouane bien trop facilement le gouvernement. Et la petite vieille qui me bousculait à la caisse de la supérette locale n’avait plus vingt ans depuis longtemps. Personnellement, j’ai un truc; j’emporte un grand panier pour maintenir une certaine distance sans en avoir l’air.
      Merci et bise et une belle soirée à toi, Marie.

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      • Milady était un cheval de manège que j’aimais monter … quand j’ai eu moins d’argent je l’ai gardée mais mise en prairie chez un garde forestier près de chez moi. Un jour elle a eu une colique, paniquée je l’ai amenée au manège a cote qui ont appelé le vet. Durant la nuit ils m’ont appelée car Milady refaisait une colique et on a du la transporter d’urgence en clinique vétérinaire. Elle a été opérée (à l’époque j’avais pas trop de sou …). Je suis allée la voir une fois en clinique. Le manège me l’a ramenée trois semaines plus tard et ils l’ont mise dans un box chez un fermier à côté (elle avait perdu plus de 100 kg). Une semaine plus tard elle avait refait une colique. Le vétérinaire est venu 5 fois dans la journée puis m’a prise à part pour me dire (c’est tjrs le propriétaire de l’animal qui doit le demander, le vet ne peut pas le faire d’office) qu’il valait mieux abréger ses souffrances. On n’a pas voulu que je reste pour le moment fatidique mais on m’a dit qu’il a fallu trois doses de produit car Milady ne voulait pas mourir.
        Elle a énormément souffert.
        J’ai tjrs en tête que le dernier entraîneur de chevaux de course chez qui j’ai travaillé l’a empoisonnée (une conversation qu’on a eue), car il était venu avec moi la voir en prairie.
        Chaque 15 septembre , surtout vers 20h30 est un jour particulier pour moi.

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    • La raison en est très simple, Brieuc. Au milieu du 19ème siècle, Barcelonnette (certainement petite montagne en dialecte local … alors que montagne il y a mais pas du tout petite) s’insurge contre le coup d’état de Napoléon II. Barcelonnette doit s’incliner. La répression est rude et se traduit par des déportations en Algérie. Un grand nombre de personnes de Barcelonnette émigrent vers le Mexique pour y fonder des commerces, des banques, des sociétés d’import-export, des industries, textiles en particulier. Le gens de Barcelonnette étaient des habitués du commerce lointain et il y avait eu un précurseur qui avait réussi au Mexique. Une bonne partie de ces émigrés ont également réussi et ont fait fortune. Les établissements de Mexico fondés par des gens de Barcelonnette sont nombreux et importants. Certains de ces émigrants, ayant fait fortune, sont rentrés à Barcelonnette et ont fait construire des villas, immenses pour certaines, à l’architecture mexicaine et des tombeaux monumentaux. Une des principales villas mexicaines, la villa Sapinière, est maintenant le musée de la vallée de l’Ubaye. Il me semble même me souvenir qu’il y a un consulat mexicain à Barcelonnette. Un sujet à creuser !
      Une belle journée à toi.

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      • J’ignorais l’histoire de la déportation en Algérie. merci de ce point d’histoire. Oui, ici, les « Barcelonettes » sont nombreux et la plupart ont très bien réussi. Mes filles ont été au Lycée Français avec beaucoup de leurs descendants. Car ils maintiennent la tradition Française.
        A +

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