Voilà ce que c’est de manger trop de tarte à la mousse au chocolat. Désolée, Gilles, c’est la première idée qui m’est venue, j’avais quelques images de retard et l’association entre les deux images s’est faite naturellement. Je me rattrape en te souhaitant un bon dimanche.
Et c’est encore plus rigolo quand tu veux passer absolument avec un sac sur le dos.
Il y a des trucs prévus pour franchir les clôtures qui sont bien pratiques.
A pluche.
Je suis passé avec mon sac … mais il m’a précédé ! Le débat dans le groupe était : Vaut-il mieux passer en dessous des barbelés ou entre deux barbelés ! La réponse a été : pour les mal-voyants et les encore un peu souples, c’est mieux en dessous. Pour les plus souples du tout, on passera entre deux barbelés … en doublant les chances de s’accrocher !
Il n’y avait pas de passage parce que le chemin normal était envahi d’eau. Nous sommes passés par les pâtures.
Merci et un beau dimanche à toi, Anatole.
il y un truc comme ça sur un site que j’affectionne particulièrement (et qui m’a changé la vie!) mais moins élaboré avec une seule marche 🙂 merci pour la photo, anatole
ah les barbelés et les randonneurs c’est tout un poème!!! et ça me rappelle des moments épiques de ma jeunesse folle 😉
alors bien sûr j’adore ce dessin!!!! 🙂
bisous, gilloup!
S’il y avait des fils tout simples, est-ce que cela empêcherait moins les vaches de sortir ? Non ! Alors, pourquoi des barbelés ?
Merci deux fois, malyloup, et un tout doux dimanche à toi.
Ça me rappelle des souvenirs où j’étais avec mes grands-parents dans leur campagne mais pas avec des barbelés mais une barrière en bois 😂
Bonne journée à toi 🙂
Mais qui a eu cette idée « géniale » de mettre des fils barbelés pour barrer le passage à de sympathiques randonneurs, avec l’idée de faire mal si on passait outre?
… et surtout de l’importation, inutile à mes yeux, à des fins de clôtures agricoles, d’une invention venant des États-Unis !
Merci et bise et bel et doux après-midi, les Belles Sources.
Alors il y avait un gros bœuf bien musclé et un peu agacé par la bise et par ce moucheron pris dans les ronces en métal. Le moucheron sentait mauvais et qui perturbait le paisible après-midi de ses cris stridents. Comme le bœuf avait une belle paire de cornes et pas l’ombre d’une crainte, les ronces en ferraille n’ont pas tardé à fouetter l’air, libérant le moucheron qui n’a pas demandé son compte.
Merci et bise et bel après-midi, Juliette.
Non, ce n’est pas arrivé comme cela ! Je suis passé sous les barbelés, sans aucun problème. Ensuite j’ai tenu les barbelés pour les suivants et les suivantes. Quand on est randonneur par ici, il vaut vieux savoir passer les clôtures !
Bise et belle soirée, Juliette.
Ah, les clôtures. Dans ma ville, on se bat avec les hautes clôtures qui bordent la voie ferrée. Depuis de nombreuses années, la compagnie de trains continue à les réparer et les marcheurs à les couper. Dès qu’on met le pied sur « leur » terrain, on devient des contrevenants. Leur problème, c’est qu’on est des milliers à le faire. Alors le jeu continue. Ils se conforment aux lois et réparent – pour avoir un argument de sécurité en cas d’accident… et nous, on continue de transgresser allègrement. Ça fait beaucoup de trous au fil des ans. Et du boulot pour les réparateurs. Mais voilà qu’il me vient maintenant que je t’avais peut-être déjà parlé de tout ça… Quoi qu’il en soit, claire fin de dimanche, cher Gilles. Et belles traverses.
Ce qui me rappelle à moi que j’avais un dessin dans la tête d’un randonneur avec un coupe-boulon qui dépasse du sac à dos. Merci de me l’avoir remis en mémoire, Caroline.
Non, tu ne m’avais pas raconté ces traversées de voies ferrées. Elle ne doit pas être tellement fréquentée cette voie ferrée pour la traverser ainsi, à pied ! Ici, ces clôtures sont respectables. Les éleveurs en ont besoin. Quand on peut, on reste en dehors de la pâture, on passe par la porte, en la refermant. Quand on ne peut pas, on passe la clôture sans l’endommager. Mais pourquoi ces sinistres barbelés ?
Merci, bise et bel après-midi, Caroline.
Mais c’est bien sûr ! Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ! Prochaine fois, j’essaye !
Merci pour la recommandation honnête et une belle soirée à toi, Roi Joyeux.
C’est plutôt « générique ». Mais il est vrai que j’ai eu les doigts coincés entre deux barbelés pendant que je les tenais haut pour d’autres parce qu’à la travée précédente, quelqu’un les escaladait !
Merci et une toute belle soirée à toi, Roi Joyeux.
Bonsoir Gilles des barbelés il n’y en a plus , remplacé par un fil électrique, d’ailleurs il y a de moins en moins de troupeaux dans mon village, mais avant c’était un jeu, passer sous les barbelés sans s’accrocher, et gare à celui ou celle qui revenait avec des accrocs. Bisous et bonne soirée MTH
Il m’est arrivé de pester contre une randonnée où nous nous étions arrêtés trop souvent à mon goût. Bilan : 14 km dans un après-midi glacé d’hiver, avec averse de grêle, des pentes bien raides. Où suis-je allé chercher mon ressenti ?
L’obstacle de taille en est un également dans le coin. Quand la chasse est ouverte, il m’est beaucoup plus compliqué d’aller randonner en forêt la-haut. Je suis assez piètre en sanglier.
Merci et un très beau lundi à toi, Aunryz.
Un dessin qui me fait sourire car il sent si bon le vécu. Qui n’a jamais goûté aux fils barbelés. Heureusement, en cette saison ils sont soit sous la neige, soit superbement givrés, ce qui leur donne un autre genre.
Belle journée à toi Gilles.
Merci, l’ancolie bleue ! Une question : dans leur fonction de clôture, quelle est la supériorité du barbelé sur un fil ordinaire ? Je me demande !
Merci et bise et belle journée à toi également, Valérie.
PS. C’est tout blanc ici et il neige encore. C’est pas si souvent !
les dessins d'humeur de gil
Voilà ce que c’est de manger trop de tarte à la mousse au chocolat. Désolée, Gilles, c’est la première idée qui m’est venue, j’avais quelques images de retard et l’association entre les deux images s’est faite naturellement. Je me rattrape en te souhaitant un bon dimanche.
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La mousse au chocolat ne passe pas bien les barbelés !
Merci, ‘vy, bise et un doux dimanche à toi.
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Et c’est encore plus rigolo quand tu veux passer absolument avec un sac sur le dos.
Il y a des trucs prévus pour franchir les clôtures qui sont bien pratiques.
A pluche.
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Je suis passé avec mon sac … mais il m’a précédé ! Le débat dans le groupe était : Vaut-il mieux passer en dessous des barbelés ou entre deux barbelés ! La réponse a été : pour les mal-voyants et les encore un peu souples, c’est mieux en dessous. Pour les plus souples du tout, on passera entre deux barbelés … en doublant les chances de s’accrocher !
Il n’y avait pas de passage parce que le chemin normal était envahi d’eau. Nous sommes passés par les pâtures.
Merci et un beau dimanche à toi, Anatole.
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il y un truc comme ça sur un site que j’affectionne particulièrement (et qui m’a changé la vie!) mais moins élaboré avec une seule marche 🙂 merci pour la photo, anatole
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ah les barbelés et les randonneurs c’est tout un poème!!! et ça me rappelle des moments épiques de ma jeunesse folle 😉
alors bien sûr j’adore ce dessin!!!! 🙂
bisous, gilloup!
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S’il y avait des fils tout simples, est-ce que cela empêcherait moins les vaches de sortir ? Non ! Alors, pourquoi des barbelés ?
Merci deux fois, malyloup, et un tout doux dimanche à toi.
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Ça me rappelle des souvenirs où j’étais avec mes grands-parents dans leur campagne mais pas avec des barbelés mais une barrière en bois 😂
Bonne journée à toi 🙂
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Les murs sont faits pour être passés … les clôtures également !
Merci, Laure, bise et un doux dimanche à toi.
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Mais qui a eu cette idée « géniale » de mettre des fils barbelés pour barrer le passage à de sympathiques randonneurs, avec l’idée de faire mal si on passait outre?
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… et surtout de l’importation, inutile à mes yeux, à des fins de clôtures agricoles, d’une invention venant des États-Unis !
Merci et bise et bel et doux après-midi, les Belles Sources.
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Ou cette curieuse manie à vouloir se barricader contre l’autre!
Doux après-midi Gilles et bise aussi.
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😉j’espère que tu n’as pas pris du jus en prime Gilles 🙄 et qui t’a décroché ?
Bonne après midi
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Alors il y avait un gros bœuf bien musclé et un peu agacé par la bise et par ce moucheron pris dans les ronces en métal. Le moucheron sentait mauvais et qui perturbait le paisible après-midi de ses cris stridents. Comme le bœuf avait une belle paire de cornes et pas l’ombre d’une crainte, les ronces en ferraille n’ont pas tardé à fouetter l’air, libérant le moucheron qui n’a pas demandé son compte.
Merci et bise et bel après-midi, Juliette.
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c’est vrai ???
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Non, ce n’est pas arrivé comme cela ! Je suis passé sous les barbelés, sans aucun problème. Ensuite j’ai tenu les barbelés pour les suivants et les suivantes. Quand on est randonneur par ici, il vaut vieux savoir passer les clôtures !
Bise et belle soirée, Juliette.
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Ah, les clôtures. Dans ma ville, on se bat avec les hautes clôtures qui bordent la voie ferrée. Depuis de nombreuses années, la compagnie de trains continue à les réparer et les marcheurs à les couper. Dès qu’on met le pied sur « leur » terrain, on devient des contrevenants. Leur problème, c’est qu’on est des milliers à le faire. Alors le jeu continue. Ils se conforment aux lois et réparent – pour avoir un argument de sécurité en cas d’accident… et nous, on continue de transgresser allègrement. Ça fait beaucoup de trous au fil des ans. Et du boulot pour les réparateurs. Mais voilà qu’il me vient maintenant que je t’avais peut-être déjà parlé de tout ça… Quoi qu’il en soit, claire fin de dimanche, cher Gilles. Et belles traverses.
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Ce qui me rappelle à moi que j’avais un dessin dans la tête d’un randonneur avec un coupe-boulon qui dépasse du sac à dos. Merci de me l’avoir remis en mémoire, Caroline.
Non, tu ne m’avais pas raconté ces traversées de voies ferrées. Elle ne doit pas être tellement fréquentée cette voie ferrée pour la traverser ainsi, à pied ! Ici, ces clôtures sont respectables. Les éleveurs en ont besoin. Quand on peut, on reste en dehors de la pâture, on passe par la porte, en la refermant. Quand on ne peut pas, on passe la clôture sans l’endommager. Mais pourquoi ces sinistres barbelés ?
Merci, bise et bel après-midi, Caroline.
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il aurait dû sauter !!
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Mais c’est bien sûr ! Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ! Prochaine fois, j’essaye !
Merci pour la recommandation honnête et une belle soirée à toi, Roi Joyeux.
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ah bon c toi hi hi ! belle soirée cher Gilles!!
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C’est plutôt « générique ». Mais il est vrai que j’ai eu les doigts coincés entre deux barbelés pendant que je les tenais haut pour d’autres parce qu’à la travée précédente, quelqu’un les escaladait !
Merci et une toute belle soirée à toi, Roi Joyeux.
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Bonsoir Gilles des barbelés il n’y en a plus , remplacé par un fil électrique, d’ailleurs il y a de moins en moins de troupeaux dans mon village, mais avant c’était un jeu, passer sous les barbelés sans s’accrocher, et gare à celui ou celle qui revenait avec des accrocs. Bisous et bonne soirée MTH
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Bon ben nous, on joue encore !
Merci, Marie, et une belle soirée à toi.
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Quand je répète qu’il ne faut pas pousser mémé dans les… dans les… dans les orties !
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J’avoue. Le dessinateur a une légère tendance à l’exagération !
Merci, Sissitronnelle, et un tout beau lundi à vous.
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les mousse au chocolat, galettes des rois sont passées par là on dirait 😉
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Forcément …
Merci et bise et douce journée, Yoshimi.
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La solidarité des randonneur, ce n’est plus ce que c’était (sourire)
—– autre obstacle de taille —–
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La solidarité des randonneur, ce n’est plus ce que c’était (sourire)
—– autre obstacle de taille —–
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Il m’est arrivé de pester contre une randonnée où nous nous étions arrêtés trop souvent à mon goût. Bilan : 14 km dans un après-midi glacé d’hiver, avec averse de grêle, des pentes bien raides. Où suis-je allé chercher mon ressenti ?
L’obstacle de taille en est un également dans le coin. Quand la chasse est ouverte, il m’est beaucoup plus compliqué d’aller randonner en forêt la-haut. Je suis assez piètre en sanglier.
Merci et un très beau lundi à toi, Aunryz.
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Un dessin qui me fait sourire car il sent si bon le vécu. Qui n’a jamais goûté aux fils barbelés. Heureusement, en cette saison ils sont soit sous la neige, soit superbement givrés, ce qui leur donne un autre genre.
Belle journée à toi Gilles.
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Merci, l’ancolie bleue ! Une question : dans leur fonction de clôture, quelle est la supériorité du barbelé sur un fil ordinaire ? Je me demande !
Merci et bise et belle journée à toi également, Valérie.
PS. C’est tout blanc ici et il neige encore. C’est pas si souvent !
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