Le vent m’intéresse ! En effet, aeolus est au coin du bois. Je suis en train de préparer une expérience simple et mobile pour expliquer l’origine du vent.
Merci et une belle journée à toi également, Andréa.
À pied, je n’ai pas cette expérience. Mais à vélo, la règle est absolue : toujours le vent de face. Deux vélocipédistes qui se croisent ont chacun le vent de face. Certainement une discontinuité quantique contenue dans le cadre ?
Merci, Aldor, et une fort belle journée à toi.
« Toujours le vent de face à vélo »? Hmmm. Je ne savais pas trop que c’était une règle mais j’ai souvenir de pédaler comme un fou, enfant, dans les rues d’Amsterdam avec le vent en face, et de faire du surplace!
(Le plat pays a des vents terribles!)
Rafales à 160 km/h le 24 février 1991 … et j’étais à vélo, une vingtaine de kilomètres. Et là, le pire n’est pas le vent de face, juste une histoire de muscle, mais le vent de côté; l’équilibre est très difficile à tenir.
Merci, Brieuc, et un bel après-midi à toi.
ce serait plus facile dans le sens de la montée 😉
ps : cela me refait penser et remonter à bien des années en arrière : je revenais de voir ma jument dans une ferme et j’étais sur mon vélo. Il y avait une belle côte à monter et vraiment beaucoup de vent …. je n’ai pas eu à pédaler, j’étais en haut de la côte en quelques secondes 😉
Merci pour les liens, Chachashire, qui me vont bien. Au milieu du projet aeolus, il y avait eu une recherche du chant ou de la musique, avec le vent comme thème, qui conviendrait le mieux. La liste était fort longue ! À cause de, ou plutôt grâce à, la différence des styles, personne n’a jamais choisi !
Une toute belle journée à toi.
Vivement qu’ils inventent le sac à dos avec assistance électrique pour les randonneurs 🙂
Si par hasard le premier de la troupe était équipé d’un pare-brise cela soulagerait les autres participants ?
A pluche.
Vent très rafraîchissant au sommet du Puy-de-Dôme aujourd’hui après la montée du chemin des muletiers sous une chaleur estivale… il devait souffler dans le bon sens puisqu’on a réussi à grimper et à redescendre aussi!
Merci pour ce trait de crayon et d’humour, Gilles. Bonne soirée!
Ça vient de mon désir de rester souple, dit le vent. Je vieillis, vous savez.
Mais t’as pensé à nous? On fait quoi, nous, là-dedans? disent-ils en choeur.
Tout ce qui vous chante, répond le vent.
Belle fin de samedi, Gilles. Et bises sur un vent. D’océan.
À Wassenaar, là où j’habitais « avant », il y avait un pont piétonnier qui chantait au moindre souffle de vent. Je n’ai jamais entendu d’ondes éoliennes aussi nettes qu’à cet endroit. Et je me souviens avoir lu un roman, la tuile à loups, qui raconte l’histoire d’un village après que la tuile à loups a chanté. En Ardenne, le vent est rarement une préoccupation !
Merci tout plein, Caroline, et bises de l’autre côté du vent.
Oh, aeolus n’est pas très loin !
Bonne journée Gilles !
😉
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Le vent m’intéresse ! En effet, aeolus est au coin du bois. Je suis en train de préparer une expérience simple et mobile pour expliquer l’origine du vent.
Merci et une belle journée à toi également, Andréa.
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Et au retour, ça aura encore tourné…
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À pied, je n’ai pas cette expérience. Mais à vélo, la règle est absolue : toujours le vent de face. Deux vélocipédistes qui se croisent ont chacun le vent de face. Certainement une discontinuité quantique contenue dans le cadre ?
Merci, Aldor, et une fort belle journée à toi.
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« Toujours le vent de face à vélo »? Hmmm. Je ne savais pas trop que c’était une règle mais j’ai souvenir de pédaler comme un fou, enfant, dans les rues d’Amsterdam avec le vent en face, et de faire du surplace!
(Le plat pays a des vents terribles!)
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Rafales à 160 km/h le 24 février 1991 … et j’étais à vélo, une vingtaine de kilomètres. Et là, le pire n’est pas le vent de face, juste une histoire de muscle, mais le vent de côté; l’équilibre est très difficile à tenir.
Merci, Brieuc, et un bel après-midi à toi.
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160 kmh c’est effectivement beaucoup. Mais effectivement les vents de côté sont traîtres. (Comme on oublie certaines choses…)
A +
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ce serait plus facile dans le sens de la montée 😉
ps : cela me refait penser et remonter à bien des années en arrière : je revenais de voir ma jument dans une ferme et j’étais sur mon vélo. Il y avait une belle côte à monter et vraiment beaucoup de vent …. je n’ai pas eu à pédaler, j’étais en haut de la côte en quelques secondes 😉
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Alors, cela arrive : on a parfois le vent dans le dos !
Bises et douce journée, Yoshimi.
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je cherchais autre chose mais je suis tombé là dessus, je me suis dit que ça pourrait plaire ( Sunsay est un groupe de « fusion » Ukrainien )
en cherchant mieux
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Merci pour les liens, Chachashire, qui me vont bien. Au milieu du projet aeolus, il y avait eu une recherche du chant ou de la musique, avec le vent comme thème, qui conviendrait le mieux. La liste était fort longue ! À cause de, ou plutôt grâce à, la différence des styles, personne n’a jamais choisi !
Une toute belle journée à toi.
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Vivement qu’ils inventent le sac à dos avec assistance électrique pour les randonneurs 🙂
Si par hasard le premier de la troupe était équipé d’un pare-brise cela soulagerait les autres participants ?
A pluche.
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J’ai ce qu’il te faut, Anatole : https://gilscow.wordpress.com/2014/05/30/sac-a-dos-back-pack/
Une toute belle journée à toi.
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ah certes, cela aide bien…grand dourire…belle journée, cher gilles
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Merci et dourires en brassées, Irène.
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You’re always brilliant. thank you so much for your art to enchant and make my thoughts work.
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Many thanks, Fernando, and have a super great day !
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Vent très rafraîchissant au sommet du Puy-de-Dôme aujourd’hui après la montée du chemin des muletiers sous une chaleur estivale… il devait souffler dans le bon sens puisqu’on a réussi à grimper et à redescendre aussi!
Merci pour ce trait de crayon et d’humour, Gilles. Bonne soirée!
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Avec plaisir, Joëlle. Bises et une belle soirée à toi.
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Ça vient de mon désir de rester souple, dit le vent. Je vieillis, vous savez.
Mais t’as pensé à nous? On fait quoi, nous, là-dedans? disent-ils en choeur.
Tout ce qui vous chante, répond le vent.
Belle fin de samedi, Gilles. Et bises sur un vent. D’océan.
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À Wassenaar, là où j’habitais « avant », il y avait un pont piétonnier qui chantait au moindre souffle de vent. Je n’ai jamais entendu d’ondes éoliennes aussi nettes qu’à cet endroit. Et je me souviens avoir lu un roman, la tuile à loups, qui raconte l’histoire d’un village après que la tuile à loups a chanté. En Ardenne, le vent est rarement une préoccupation !
Merci tout plein, Caroline, et bises de l’autre côté du vent.
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